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African Crop Science Journal

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The Journal of Tropical Crop Science and Production
Volume 10 Number 1 2002
ABSTRACTS

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 1-9, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

POTENTIAL OF ELITE MAIZE COMPOSITES FOR DROUGHT TOLERANCE IN STRESS AND NON-drought STRESS ENVIRONMENTS

P.Y.K. SALLAH, K. OBENG-ANTWI and M.B. EWOOL

Crops Research Institute, CSIR, P. O. Box 3785, Kumasi, Ghana

(Received 11 December, 1999; accepted 11 November, 2001)

ABSTRACT

Drought stress is a major factor limiting the productivity of maize (Zea mays L.) in West and Central Africa. This study was conducted to assess drought tolerance/susceptibility in nine early maturing maize composites, including five drought tolerant selections. The varieties were evaluated in 5 drought-stressed and 5 non-drought stressed environments in Ghana, West Africa, from 1995 to 1997. Effects due to environment (E), genotype (G) and G x E interaction were highly significant (P<0.01) for grain yield, 50% silk emergence, plant height, lodging, ears per plant, and ear rating in both environments (drought and non-drought stressed). In the stress environment, grain yields of the varieties ranged from 2.21 to 3.12 t ha-1, while in the favourable environment yields ranged from 4.17 to 5.96 t ha-1. Two drought tolerant selections (EVEJ 9190DWDP & EVFU 9190DWPD) out-yielded Dorke SR (an improved check) by 16.0% and the Local (landrace) variety by 30.8% in the stress environment. In the favourable environment, grain yields were similar, averaging 5.85 t ha-1 for the two elite varieties and the improved check. Grain yield in the stress environment was positively associated (r = 0.71, P<0.01) with yield in the non-stress environment. Estimates of Eberhart and Russell's stability parameters across environments were bi = 1.04 (s2=0.13) for the improved varieties and bi=0.65 (s2=0.22) for the local variety.

Key Words: Ghana, grain yields, productivity, selections, Zea mays

Résumé

La sécheresse est le plus grand facteur limitant la production de mais (Zea mays L.) en Afrique de l'ouest et centrale. Cette étude était conduite pour estimer la tolérance de neuf jeunes plantes à la sécheresse. Cinq de neuf sélections sont reputées tolérantes à la sécheresse. Les variétés étaient évaluées dans cinq environnement de sécheresse permenante et non permenante du Ghana de 1995- 1997. Les effets due à l'environnement (E); génotype (G) et à l'intéraction GxE étaient significativement élévés (P<0.01) pour le rendement en grains (50% `silk' emergence) , taille de la plante, spathes, les épis par plante, et le taux d'épis dans les deux environnements. Dans l'environnement stressé les rendements en grains ont rangé entre 2,21 et 3,12 t ha-1; et dans les conditions favorables ils ont rangé entre 4,2 et 5,96 t ha-1. Deux sélections tolérantes à la sécheresse (EVEJ 9190 DWDP et EVFV 9190 DWPD) ont surpassé le Dorke SR (Variété améliorée) par 16% et la variété locale (Landrace) par 30.8% dans un environnement stressé. Dans les conditions favorables, les rendements en grains étaient similaires avec une moyenne de 5.87 t ha-1, pour deux variétés élites et variétés améliorées. Le rendement en grains dans l'environnement stressé était positivement associé (R= 0.71, P< 0.01) à celui de l'environnement non stressé. Une estimation des paramètres de stabilité de Eberhart et Russel à travers environnements étaient de bi=1,04 (S2 = 0.13) pour les variétés améliorées et bi = 0,65 (S2= 0.22) pour la variété locale.

Mots Clés: Ghana, rendement en grain, productivité, sélections, Zea mays

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 11-21, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

response OF CASSAVA GENOTYPES TO FOUR BIOTIC CONSTRAINTS IN THREE AGRO-ECOLOGIES of NIGERIA

A.G.O. Dixon, J.M. Ngeve1 and E.N. Nukenine2

International Institute of Tropical Agriculture, PMB 5320, Ibadan, Nigeria

1Institute of Agricultural Research for Development, BP 2123 Yaounde, Cameroon

2Department of Life Science, University of Ngaoundere, B.P. 454, Ngaoundere, Cameroon

(Received 13 February, 2001; accepted 14 November, 2001)

ABSTRACT

Eight improved cassava (Manihot esculenta Crantz) genotypes and one local variety were grown over three years in three agro-ecological zones of Nigeria, to study their response to natural infestations of African cassava mosaic disease (ACMD), cassava bacterial blight (CBB), cassava anthracnose disease (CAD) and cassava green mite (CGM). Additionally, genotypes with stable resistance using the Additive Main Effects and Multiplicative Interaction (AMMI) statistical model was identified. Environments, genotypes and genotype x environment (G x E) interactions were highly significant (P < 0.0001) for the pests, implying that the G x E effects were sufficiently high to mask differences among genotypes. The local variety, TME1, was more tolerant (30% severity) to cassava green mite across sites, compared to other clones, while clone 30001 exhibited the highest susceptibility to the pest (54%). Genotypes (30001, TME1 and 30573) gave lowest severity scores for ACMD. Clones used in the study, especially U/41044, 4(2) 1425 and 63397, showed tolerance to CBB and CAD with severity ratings as low as 2.0. Across test sites, CGM had the highest severity scores (3.12) averaged over 3 years in Ilorin (in the Southern Guinea savanna ecology). The lowest severity scores of this disease were observed in Ubiaja and Onne. The severity of ACMD and CBB was highest in Ibadan and Ubiaja and lowest in Onne and Owerri. Cassava anthracnose disease was more severe in Ibadan (score of 2.5) and least severe in Mokwa (1.12). For CGM the highest severity was recorded in the Southern Guinea savanna (score 2.88) and lowest in the humid forest zone. Correlation coefficients calculated between pairs of biotic constraints revealed that cassava bacterial blight was negatively correlated (r=-0.78) with the green mite but positively correlated with anthracnose disease (r=0.94). The AMMI model selected AMM11 for CGM and CBB, and AMM14 and AMM13 for ACMD and CAD, respectively, as the best predictive models since these models had the smallest actual root mean square prediction differences (0.60598 and 0.37646 for CGM and CBB, respectively and 0.37297; and 0.40929 for ACMD and CAD, respectively. Genotypes 30572, 63397, 50395 and 4(2)1425 with low ACMD scores and low IPCA1 scores were the most stable to environmental changes as they combined resistance with stability of response. Such genotypes would be most appropriate in breeding programmes.

Key Words: African cassava, anthracnose, bacterial blight, green mite, mosaic disease

RéSUMé

Un essai a été mené sur huit clones améliorés de génotypes de manioc et une variété locale, dans trois zones agro-écologiques du Nigéria, pour étudier leur comportement à la mosaïque, bactériose, anthracnose et acarien vert du manioc. L'étude s'était étalée sur une période de plus de trois ans. Additionnellement, les génotypes à résistance stable étaient identifiés en utilisant la méthode statistique des effets principaux additifs et intéractions multiplicatives. Les effets de l'environnement, du génotype et l'intéraction génotype et l'environnement (GXE) étaient significativement élévées (P<0.0001) sur les quatre pestes, suggérant que l'intéraction génotype-environnement était suffisamment élévée pour masquer les différences parmi les génotypes. La variété locale, TME1, était plus tolérante (sévérité 30%) à l'acarien vert de manioc aux travers les sites comparé aux autres clones pendant que le clone 30001 a exhibé la sensibilité la plus élévée aux pests (54%). Les génotypes (30001, TME1 et 30573) ont donné des scores sévérement bas pour la mosaïque. La plupart des clones, spécialement U/41044, 4(2) 1425 and 63397, ont montré une tolérance à la bactériose et l'anthracnose avec des taux sévérement bas de 2.0. Au travers les sites testés, l'acarien vert avait le plus grand score (3.12), pour une moyenne de plus de trois ans, dans Ilorin (dans la savanne du Sud Guinnee). Les scores les plus bas pour cette maladie étaient observés dans l'Ubiaja et dans Onne et Owerri. La sévérité du mosaïque et la bactériose. La maladie d'anthracnose de manioc était plus sévère dans Ibadan et moins sévère dans Mokwa. Pour l'acarien vert la sévérite la plus élévée était enregistrée dans la savanne du sud Guinnée (score 2.88) et la plus basse dans la zone forestrière humide. Les coéfficients de corrélation calculés entre paires et contraintes biotiques ont revélé que la bactériose était négativement corrélée à l'acarien vert du manioc (-0.78) mais positivement corrélée à la maladie l'anthracnose (r=0.94). Le modèle AMMI a séléctionné AMM11 pour l'acarien vert et la bactériose, AMM12 et AMM13 pour le mosaïque et l'anthracnose comme meilleurs modèles. Ils ont présenté des racines des carrés moyens faibles; 0.60598, 0.37464, 0.37297 et 0.40929 pour l'acarien vert, la bactériose, le mosaïque et l'anthracnose, respectivement. Les génotypes 30572, 63397, 50395 et U(2)1425 avec bas scores; le mosaïque et bas scores IPCA1 étaient en majorité stable aux échanges environnementaux comme ils ont combiné résistance avec stabilite des réponses. Pareils génotypes seront les plus recommendés dans un programme de sélection.

Mots Clés: Manioc Africain, anthracnose, bactériose, acarien vert, mosaïque

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 23-30, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

ESTABLISHMENT OF OPTIMUM PLANT DENSITIES FOR DRY SEASON SORGHUM GROWN ON VERTISOLS IN THE SEMI-ARID ZONE OF CAMEROON

R. J. CARSKY, R. NDIKAWA1 and L. SINGH2

International Institute of Tropical Agriculture, B.P. 08-0932 Cotonou, Benin Republic

1Institute of Agricultural Research for Development, B.P. 33, Maroua, Cameroon

2ATBU, Bauchi, Nigeria

(Received 21 April, 1998; accepted 2 December, 2001)

ABSTRACT

Dry season transplanted sorghum is grown on Vertisols in the Lake Chad Basin at approximately 10,000 plants ha-1. Increasing plant density was hypothesised to be one way of increasing yields in this cropping system. To test this hypothesis, a trial was conducted in four environments near Maroua in northern Cameroon (one year at Yoldeo and three years at Salak) examining densities ranging from 10,000 to 50,000 plants ha-1. Grain yields were not significantly increased by increasing planting density in any of the environments because of reduced panicle size. For example, as planting density was doubled from 10,000 to 20,000 ha-1, the mean density of panicles harvested was increased by 85% but mean grain weight per panicle was decreased by 45%. Thus, in all environments, mean grain yields increased by 100 kg ha-1 (9%) at the transplant density of 20,000 ha-1 and 150 kg ha-1 at 26,667 plants ha-1. A comparison of results from three years at Salak suggests that the fraction of plants bearing panicles is influenced by the annual rainfall and, especially, the amount of rain during August and September. However, even after a season of adequate rainfall, panicle grain weight decreased with increasing panicle density, suggesting that there is little scope for increasing dry season sorghum transplant density without supplemental irrigation. Considering increases in labour input for nursery establishment, transplanting and harvest, the increased revenue from increasing planting density does not compensate for increased costs. The economic optimum is around 10,000 ha-1, which is similar to the current farmers' practice.

Key words: Economic optimum, environment, irrigation, partial budget analysis, Sorghum bicolor

RéSUMé

La densité de plantation pour des sorghos repiqués en saison sèche sur les Vertisols dans le basin du lac Tchad environne 10000 plantes ha-1. L'augmentation de la densité semble être un moyen d'augmenter son rendement dans ce systeme agricole. Pour tester cette hypothèse, un essai comportant cinq densité variant entre 10000 et 50000 plantes ha-1 a été conduit pendant trois ans à Salak et un an à Yoldeo dans le nord du Cameroun près de Maroura. Le rendement en grains n'a pas significativement augmenté avec la densité des plantes à cause de la réduction de dimensions de la panicule. Par exemple, en doublant la densité de 10000 plantes ha-1, la densité moyenne de penicules récoltées a augmenté de 85%, mais le poids moyen de grains par penicule a dimunué de 45%. Pour différents environnements, le rendement en grains a été augmenté de 100 kg dans le traitement de 20000 plantes ha-1 et 150 kg dans le traitement de 26666 plantes ha-1. Les résultats suggèrent que à Salak la fraction de plantes avec penicules est influencée par la pluviométrie des mois d'Août et Septembre. Toutefois, malgré un regime pluviométrique adéquate, le poids de grains des penicules a diminué avec l'augmentation de la densité de penicules faisant transparaitre moins d'espoir d'augmenter la densité de repiquage du sorgho sans irrigation, pendant la saison sèche. Considérant le coût du travail pour l'installation des pépinières, le repiquage et la récolte, le revenue généré ne couvre pas les dépenses engagées. L'optimum économique est autour des 10000 plantes ha-1 actuellement utilisé par les agriculteurs.

Mots Clés: Optimum économique, environnement, analyse du budget partiel, Sorghum bicolor

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 31-38, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

EFFECT OF PLANT POPULATION DENSITY ON THE GROWTH AND YIELD OF SORGHUM VARIETIES GROWN ON A VERTISOL

R. Tabo, O.G. Olabanji1, O. Ajayi2 and D.J. Flower3

ICRISAT, Bamako, BP 320, Bamako, Mali

1Lake Chad Research Institute (LCRI), PMB 1293, Maidugiri, Nigeria

2ICRISAT C/o IITA, Sabo Bakin Zuwo Road, PMB 3491, Kano, Nigeria 3209 Bathurst St, Condobolin 2877, Australia

(Received 2 June, 1999; accepted 24 November, 2001)

ABSTRACT

Sorghum (Sorghum bicolor (L.) Moench) is an important crop that is usually grown on the Vertisols of north eastern Nigeria during the dry season. The crop is grown on soils with residual moisture, and thus exposing it to terminal drought stress. Improvement of resource use efficiency and yields is probably possible through the use of appropriate plant densities. Field trials were therefore conducted to study the effects of four plant densities, varying from 2.0 to 12.5 plants m-2 on water and radiation use and performance of two Masakwa sorghum varieties grown on a Vertisol under residual soil moisture conditions. At higher plant densities the locally adapted Nigerian variety, Bulwalana produced higher grain yields than the selection from Cameroun, Bourgouri-28. It also had more efficient water use and better light interception. At low plant densities, Bourgouri-28 yielded higher than Bulwalana. Leaf area index and radiation interception increased with increasing plant density. Stem borer incidence decreased with increasing plant density. More stem borer holes and stem tunnelling were recorded in Bulwalana than in Bourgouri-28. Covered kernel smut [Sporisorium sorghi (Ehrenberg) Link] appeared to be a potentially serious disease of the crop. The study showed that the performance of the crop can be improved through manipulation of plant population and use of early maturing cultivars.

Key Words: Sorghum bicolor, transplanted sorghum, water use efficiency, yield

RéSUMé

Le sorgho (Sorghum bicolor (L.) Moench) est une culture importante sur les Vertisols de la partie nord est du Nigéria pendant la saison sèche. Planté généralement à cause de l'humidité residuelle, le sorgho souffre souvent du stress hydrique de fin de cycle. L'amélioration de l'utilisation efficace des ressources et des rendements est possible à travers l'usage des densités appropriées des plantes. Les essais de champ ont été ménés pour étudier les effets de quatre densités des plantes, variant entre 2.0 et 12.5 plantes m-2 sur l'utilisation de l'eau, de la radiation et sur la performance de deux variétés de sorgho Masakwa cultivées sous des conditions d'humidité résiduelle. A des densités de plantes élévées, la variété Nigériane localement adaptée, Bulwalana a produit un rendement en grains plus élévé que la sélection du Cameroun, Bougouri-28. Elle avait aussi une utilisation plus efficace de l'eau et une meilleure interception de la radiation. Aux densités basses, Bougouri-28 a eu un rendement plus élévé que celui de Bulwalana. La surface foliaire et l'interception de la radiation ont augmenté avec la densité des plantes. L'incidence des foreurs des tiges a diminué avec l'augmentation des densités des plantes. Un plus grand nombre des trous des foreurs des tiges et des percements des tiges ont été enregistrés sur Bulwalana que sur Bourgouri-28. Le charbon couvert [Sporisorium sorghi (Ehrenberg) Link] apparait comme une maladie potentielle sérieuse de ce sorgho. Cette étude a montré que la performance de ce sorgho peut être améliorée en manipulant la densité des plantes et en utilisant des cultivars adaptés et précoces.

Mots Clés: Sorghum bicolor, foreur des tiges, efficacité d'utilisation de l'eau, rendement

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 39-49, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

YIELD RESPONSE OF BAMBARA GROUNDNUT TO PLANT POPULATION AND SEEDBED TYPE

F.L. Mkandawire and K.P. Sibuga1

University of East Africa, P.O. Box 2500, Eldoret, Kenya

1Sokoine University of Agriculture, Department of Crop Science and Production, P.O. Box 3005, Morogoro, Tanzania

(22 April, 2001; accepted 16 October, 2001)

ABSTRACT

A field experiment to study the effect of plant population and seedbed type on yields of bambara groundnuts was conducted at Morogoro in Tanzania. The experiment was designed with three seedbed types split-plot; flat, ridge and furrow in the main plots and bambara groundnut population densities (9, 13, 22 and 66 plants m-2) in the sub plots. At 63 days after sowing (DAS), leaf area index (LAI) was highest for 66 plants m-2 and/or when planted on the ridge. In the short rain season, bambara groundnuts planted in the furrow at 13 plants m-2 had the highest (P< 0.05) grain yields (519.2 kg ha-1) and harvest index (62.5). Shelling percentage values were highest across all seedbed types (average 74.2%) at 13 plants m-2. In the long rains, LAI was also the highest (P< 0.05) for 66 plants m-2 at 63 DAS, but differences in LAI between seedbed types were not significant. Crop performance at 22 plants m-2 on a flat seedbed, earthed at weeding, was generally superior as it gave the highest (P< 0.05) pod yield (798 kg ha-1), grain yield (585.1 kg ha-1), and harvest index (75.0). In both the short and long rainy seasons, yields were significantly reduced to the lowest level at 66 plants m-2 regardless of the seedbed type.

Key Words: Harvest index, leaf area index, population density, seedbed, Tanzania, Vigna subterranea

résumé

Une expérience de terrain pour étudier les effets de la population des plantes et le type de semis sur le rendement de l'arachide bambara était conduite à Morogoro en Tanzanie. Les expériences étaient préparées sur trois types de semis: split-plot; plat, billons et sillons dans la parcelle principale et l'arachide bambara de densité (9, 13, 22 et 66 plantes m-2) dans les parcelles secondaires. Soixante et trois jours après la semence, l'indice de surface foliaire (LAI) était le plus élévé pour 66 plantes m-2 et / ou pour les plantes sur des stries. Durant la courte saison pluvieuse, l'arachide de bambara plantée sur les sillons à densité de 13 plantes m-2 avait le rendement le plus élévé de 519.2 kg ha-1 (P<0.05) et l'indice de production 62.5. Le pourcentage d'ecales était le plus élévé à travers les semis (en moyenne 74.2%) pour la densité de 13 plantes m-2. Pendant les longues saisons pluvieuses, LAI était aussi le plus élévé à la densité de 66 plantes m-2. La différence due aux types de semis ne s'est pas revélée significative. La performance des plantes à la densité de 22 plantes m-2 sur des semis plats, était généralement supérieure concernant la production en gousses (798 kg ha -1) et l'indice de récolte (75.0). Pour les deux saisons, les rendements étaient les plus bas à la densité de 66 plantes m-2 quelque soit le type de semis.

Mots Clés: Indice de récolte, indice de surface foliaire, densité de la population, semis, Tanzanie, Vigna subterranea

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 51-66, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

SUGARBEET LEAF GROWTH AND YIELD RESPONSE TO SOIL WATER DEFICIT

Y.A. Abayomi and D. Wright1

Department of Crop Production, University of llorin, P.M.B. 1515, llorin, Kwara State, Nigeria

1School of Agricultural and Forest Sciences, University of Wales, Bangor, Gwynedd, LL57 2UW, United Kingdom

(Received 18 October, 1999; accepted 27 November, 2001)

Abstract

There are conflicting reports about the sensitivity of sugarbeet (Beta vulgaris L.) to water stress during different growth stages. Although, it is generally believed that the crop benefits from irrigation, opinions still differ as to which growth stage irrigation should be applied. This study evaluated the responses of sugarbeet leaf growth, sugar yield and yield components to soil water deficit imposed at various periods during growth in a glasshouse. Leaf growth showed high sensitivity to soil water deficit and responses varied with periods at which the deficit occurred. Water deficit early in the growing season had larger effects on leaf growth, leaf extension rate (LER), area of individual leaf, and leaf area index (LAI). Mid- or late-season soil water deficit showed relatively smaller effects on leaf growth. Re-watering resulted in compensatory leaf growth in early stressed plants. Both early (ES) and late (LS) soil water deficit decreased sugar yield and sugar concentrations. However, there were no significant (P<0.05) differences in the severity of effects of ES and LS, thus, no evidence to suggest that any particular growth stage is more sensitive to water stress than the other.

Key Words: Beta vulgaris, irrigation, leaf area index, leaf extension rate, water stress

résumé

Il existe des rapports conflictuels concernant la sensibilité de la betterave à sucre (Beta vulgaris L.) aux stress d'eaux à différentes étapes de la croissance. Même s'il est généralement admis que les plantes profitent de l'irrigation, les opinions continuent à différer concernant le moment d'application. Cette étude a évalué l'accroissement de la feuille de la betterave à sucre, son rendement en sucre, et les autres composantes du rendement à la carence en eau imposée à des époques différentes de sa croissance dans en serre. La croissance des feuilles a montré une grande sénsibilité à la carence en eaux. La réponse a varié aussi avec la période à laquelle la carence s'est declarée. La déficience en eau précoce a produit un grand impact sur la croissance des feuilles, le taux d'accroissement, la surface foliaire individuelle, et l'indice de surface foliaire. A la mi ou vers la fin de la saison, la carence en eau dans le sol montra des moindres effets sur la croissance des feuilles. L'irrigation a eu un effet compensatoire sur la croissance des feuilles des plantes stressées précocement. Les deux déficits d'eaux, précoce et de fin de saison, ont diminué le rendement du sucre et la concentration en sucre. Cependant, la carence précoce et celle de fin de saison n'ont pas généré différents impacts apparent. Cependant, il n' y a pas assez d'evidences, pour affirmer qu'il existe d'étapes très sensibles que les autres à la carence en eau.

Mots Cles: Beta vulgaris, irrigation, indice de surface foliaire, taux d'accroissement des feuilles, carence en eau

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 67-79, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

EFFECT OF STUBBLE MANAGEMENT, TILLAGE AND CROPPING SEQUENCE ON THE SEVERITY OF TAKE-ALL AND EYESPOT DISEASES of wheat

ASEFA TAA, D.G. TANNER1 and A.T.P. BENNIE2

Kulumsa Research Center, Ethiopian Agricultural Research Organization (EARO),

P.O. Box 489, Asella, Ethiopia

1CIMMYT/CIDA Eastern Africa Cereals Program, P.O. Box 5689, Addis Ababa, Ethiopia

2Department of Soil Science, University of the Orange Free State, P.O. Box 339, Bloemfontein 9300, Republic of South Africa

(Received 2 May, 2001; accepted 8 September, 2001)

ABSTRACT

Bread wheat (Triticum aestivum L. em Thell) is affected by several soil- and stubble-borne diseases in Ethiopia, including take-all and eyespot, which often necessitate instituting control. In this study, the efect of stubble management, tillage and cropping sequence on the severity of these diseases was investigated. Four multi-factor crop management trials were initiated in 1992 at two research sites in the south-eastern highlands of Ethiopia. Two trials were established at each site: one based on tractor and the other on ox-plough tillage. A three year rotation, consisting of two consecutive crops of wheat following one crop of faba bean, reduced the severity of take-all, but had little effect on eyespot severity. Conservation tillage decreased take-all severity relative to conventional tillage, but had no effect on eyespot severity. Stubble burning did not exhibit a consistent effect on the severity of either disease. However, full stubble retention relative to partial removal increased eyespot severity. The interactions among the three crop management factors were seldom significant for either disease. Rotation of wheat with faba bean should be recommended as a means of minimising take-all severity. The adoption of conservation tillage practices for wheat production in Ethiopia should not be hindered for fear of spreading these specific trash-borne diseases, although, full stubble retention could increase the severity of eyespot.

Key Words: Conservation tillage, Pseudocercosporella herpotrichoides (Fron) Dei., Triticum aestivum

résumé

Le blé des pains (Triticum aestivum L. em Thell) est affecté par plusieurs maladies due à la couverture de chaume en Ethiopie. Elles incluent le `take-all' et l'ocelle nécéssitant un contrôle établit. Dans cette étude, les effets de la gestion de la couverture de chaume, labourage et la séquence des cultures sur la sévérité de ces maladies étaient examinés. Quatre essais à facteurs multiples de gestion des plantes étaient initiés en 1992 dans deux sites des recherches dans le sud-est de la région montagneuse d'Ethiopie. Deux essais étaient établis à chaque site, l'un basé sur le labourage par tracteur et l'autre le labourage à boeufs. Une rotation éfféctuée après trois ans sur deux cultures consecutives de blé suivie par une culture d'haricots faba, a réduit la sévérité du `take-all', mais a eu peu d'effets sur l'ocelle. Le labourage destiné à la conservation a diminué la sévérité relative du `take all' par rapport au labourage conventionel, mais sans produire des effets sur l'ocelle. La brulure du chaume n'a pas exhibé des effets consistants en sévérité et `take-all' et de l'ocelle. Cependant, la retention relative à l'enlèvement partiel l'ocelle a augmenté sa sévérité. Les interactions parmi les trois facteurs de gestion de plantes étaient rarement significatives pour l'une ou l'autre maladie. La rotation entre le blé et l'haricot faba devrait être recommende comme un moyen de minimiser la sévérité du `take-all'. L'adoption des pratiques du labourage conservatif pour la production du blé en Ethiopie ne devrait pas être entravée par peur de l'éparpillement de ces maladies, même si une complète rétention de l'ocelle pourrait augmenter la sévérité de cette dernière.

Mots Clés: Labourage conservatif, Pseudocercosporella herpotrichoides (fron) Dei., Triticum aestivum

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 81-97, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

EFFECT OF INTERCROPPING CEREAL CROPS WITH FORAGE LEGUMES AND SOURCE OF NUTRIENTS ON CEREAL GRAIN YIELD AND FODDER DRY MATTER YIELDs

D.R. Mpairwe, E.N. Sabiiti1, N.N. Ummuna2, A. Tegegne2 and P.Osuji2

Department of Animal Science, Makerere University, P.O. Box 7062, Kampala, Uganda

1Department of Crop Science, Makerere University, P.O. Box 7062, Kampala, Uganda

2International Livestock Research Institute (ILRI), Debre Zeit Research Station, P.O. Box 5689, Addis Ababa, Ethiopia

(Received 21 April, 2001; accepted 2 February, 2002)

ABSTRACT

The study investigated the effect of intercropping cereals (maize, sorghum and wheat) with forage legumes (lablab and clover), planting methods and manure application on cereal grain and fodder dry matter yield and fodder nutritive value. Data collected over a period of three years, indicated that intercropping significantly (P<0.001) yielded more fodder (27%) but slightly depressed grain yields compared to sole cereal cropping. Row planting significantly (P<0.001) yielded more fodder DM (5%) and more cereal grain (21%) than broadcast planting. The nutritive value (CP, NDF and dry matter degradability) of the fodder was not affected (P>0.05) by planting method. However, intercropping forage legumes with cereals generally resulted in fodder with higher fodder CP concentration, lower NDF and higher dry matter degradability than fodder from sole cereals. Manure application into cereal + forage legume cropping systems significantly (P<0.05) yielded higher grain and fodder DM (range: 2.9-3.6 t ha-1 and 8.2-9.3 t ha-1, respectively) than inorganic fertiliser (3.2 and 8.8 t ha-1). These yields were significantly (P<0.001) higher than the of no manure and no diammonium phosphate (DAP) urea fertiliser control, which yielded 2.3 and 7.1 t ha-1 of grain and fodder DM, respectively. Fodder DM yield gains of manure over control in sole crops averaged 46.9% for maize, 41.4% for sorghum and 64.2% for wheat, while yield gains in the intercrop averaged 34.5% for maize + lablab, 39.1% for sorghum + lablab and 37.1% for wheat + clover. Cereal grain yield gains caused by manure over the control in sole crops averaged 58.3% for maize, 22.7% for sorghum and 28.6% for wheat, while yield gains for the intercrops averaged 70.4% for maize + lablab, 55.6% for sorghum + lablab and 14.3% for wheat + clover. Cattle manure application yielded as much or even more grain and fodder as chemical fertiliser (DAP/urea). For optimum cereal grain yield and fodder production from cereal and forage legume cropping systems, cattle manure should be applied at a rate of 13.7 t DM ha-1. However, the rate of 2.5 t DM manure ha-1 year ha-1, which had a yield advantage of 15.5% over the control in sole stands, was recommended for tropical smallholder crop/livestock farming systems.

Key Words: Clover, fertiliser, lablab, maize, manure, urea

résumé

Les effets des cultures intercalées des céréales (mais, sorgho et blé) avec fourrages (lablab et trèfle), méthodes de planter et l'application des fumiers sur les grains des céréales et les rendements en fourrages secs et leurs valeurs nutritives ont été étudié. Les données récoltées pendant trois ans ont montré que les rendements en fourrages ont significativement augmenté (27%) mais légérement diminué les rendements en grains (21%) par rapport aux céréales en monoculture. La disposition en lignes a produit un rendement élévé en fourrages secs (5%) et en grains des céréales que les céréales plantés aux hazard. La valeur nutritive (CP, NDF et degradabilité de la matière sèches) des fourrages n'a pas été affectée (P>0.05) par la méthode de planter. Cependant, la culture des fourrages et les céréales intercalés a généré des fourrages a avec concentrations en CP et une degradabilité de la matière sèches élévées et de faibles NDF. L'application des fumiers dans les céréales + les systèmes culturales des fourrages a augmentée significativement les rendemenrs en grains et matière sèches des fourrages (2,9-3,6 t ha –1 et 8,2 – 9,3 t ha–1 ; respectivement) que les fertilisants inorganiques (3,2 et 8,8 t ha–1). Ces rendements étaient significativement (P<0.001) élévés que ceux des non fumiers, non DAP et l'urée qui ont produit 2,3 et 7,1 t ha –1 des grains et fourrages secs; respectivement. Les gains en fourrages secs générés par les fumiers par rapport au contrôle des céréales en monocultures avoisinés 46,9% pour les maïs, 41, 4% pour le sorgho et 64,2 % pour le blé, tandis que les gains en cultures intercalées avoisinés 34,5 % pour les maïs+lablab, 39,1% pour le sorgho et 37,1% pour le blé + trèfle. Les rendements en grains des céréales causés par l'application du fumier sur le contrôle (plantes en monocultures) avoisinés 58,3% pour les maïs, 22,7% pour le sorgho et 28,6% pour le blé, tandis qu'ils avoisinés 70,4% pour les maïs+lablab, 55,6% pour le sorgho + lablab et 14,3 % pour le blé + trèfle. L'application du fumier a produit au moins la même quantité de la matière végétale et des grains que fertilisants chimiques (DAP/urée). Pour une production optimale, des grains et la matière vegetales des céréales et des fourrages les fumiers devra être appliqué à un taux de 13,7 t ha –1) des matières sèches. Cependant, le taux de 2,5 t ha –1) qui avait produit un gain de 15,5% sur le contrôle (monoculture) était le plus recommendé aux petits fermiers et agriculteurs des régions tropicales.

Mots Clés: Trèfle, fetilisant, maïs, fumier, urée

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 99-110, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

INTEGRATED MANAGEMENT OF GROUNDNUT ROSETTE DISEASE

P. SUBRAHMANYAM, P.J.A. VANDER MERWE, A.J. CHIYEMBEKEZA and S. CHANDRA1

International Crops Research Institute for the Semi-Arid Tropics (ICRISAT),

P.O. Box 1096, Lilongwe, Malawi

1ICRISAT, Patancheru P.O., Andhra Pradesh 502 324, India

(Received 15 August, 2000; accepted 10 November, 2001)

ABSTRACT

An investigation was conducted to study the effects of cultural practices and host-plant resistance on rosette disease incidence and pod yields of elite groundnut genotypes during four growing seasons in Malawi. The effects of genotypes and cultural practices, and their interactions on rosette disease incidence were significant at pegging stage under high disease pressure in all seasons. The genotypic differences in disease incidence were spectacular under high disease infestation in all seasons. Resistant genotypes gave higher pod yields than susceptible genotypes under high disease incidence, irrespective of sowing time and plant population. However, pod yields were higher for early sown treatments at optimum plant population. There were no marked differences in pod yield between genotypes under low disease pressure. Overall, the combination of resistant genotypes with early sowing at optimum plant population exhibited the best performance under high disease infestation. Although the resistant genotypes gave the highest pod yields under high disease infestation, pod yields were consistently lower than the yields under low disease situation probably because of their susceptibility to groundnut rosette assistor virus (GRAV) component.

Key Words: Arachis hypogaea, cultural practices, genotypes, host-plant resistance, optimum plant population

résumé

Une enquête visant à evaluer les effets des pratiques agricoles et la résistance des plantes - hôtes sur l'incidence de la rosette et le rendement en gousses des variétés - elites d'arachide, a été réalisée, durant 4 saisons culturales, au Malawi. Les effets de génotypes et de pratiques agricoles, et leurs interactions sur l'incidence de la rosette, ont été significatifs, durant la période de stabilisation, lorsque les plantes sont soumises sous une haute pression de la maladie. Les différences génotypiques sur l'incidence de la maladie, ont été spectaculaire, durant toutes les saisons lorsque les plantes sont soumises sous une haute pression de la maladie. Les génotypes résistants ont donné des rendements en gousses plus élévés par rapport aux susceptibles, quelque soit la période de semis et la densité des plantes. Cependant, les rendements étaient élévés pour un semis précoce réalisée à la densité des plantation optimale. Au point de vue de rendement en gousses, des différences non significatives, entre les génotypes, étaient obsrvées lorsque les plantes étaient soumises sous faible pression de la maladie. Les meilleures performances de rendement, lorsque les plantes sont soumises sous hautes pressions, ont été observées, lorsque l'on combine génotypes résistants et semis precoces. Malgré que les génotypes résistants ait donné, un rendement élévé en infection élévée, les rendements étaient moins élévés par comparaison à la situation de faible pression, probablement à cause de leur sensibilité aux composantes du GRAV.

Mots Clés: Arachis hypogaea, résistante des plantes- hôtes, pratiques agricoles

African Crop Science Journal, Vol. 10. No. 1, pp. 111-120, 2002 ISSN 1021-9730/2002 $ 4.00
Printed in Uganda. All rights reserved ©2002, African Crop Science Society

SOCIOECONOMIC FACTORS ASSOCIATED WITH FINGER MILLET PRODUCTION IN EASTERN UGANDA

M.M. Kidoido, V. Kasenge, S. Mbowa, J.S. Tenywa1 and P. Nyende1

Department of Agricultural Economics and Agribusiness, Makerere University, Kampala, Uganda

1Department of Soil Science, Makerere University, Kampala, Uganda

(Received 6 February, 2001; accepted 19 February, 2002)

Abstract

Finger millet (Eleusine coracana L.) is a major food security crop in Uganda, particularly in dry areas of the eastern and northern region. Unfortunately, yields are steadily declining at farm level and this coupled with lack of comprehension of factors responsible has provoked concern among farmers and research scientists. This study was conducted in eastern Uganda to establish the socioeconomic causes of millet yield decline. One fifty finger millet farmers were randomly selected and interviewed. A Cobb-Douglas production function was used to assess the critical socioeconomic factors influencing finger millet production. Seeding rate, labour, tools and equipment, production experience, and weed management were found to be the most constraining factors. Manure application, farmer-group involvement and ownership of draught power (oxen and ploughs) were also critical issues in the production of the crop. The future of the crop largely lies in addressing the factors that limit use of inputs and the integration of indigenous knowledge in finger millet production research and development.

Key Words: Allocative efficiency index, Cobb-Douglas function, Eleusine coracana, marginal product

résumé

Le millet (Eleusine coracanal) est une plante importante pour la sécurité alimentaire, particulierement dans les régions sèches de l'est et du nord de l'Ouganda. Malheuresement les rendements sont entrain de décliner constament au niveau des fermes et ceci couplé avec le manque de compréhension des facteurs responsables ont provoqué un intéréssement parmi les fermiers et des scientifiques. Cette étude était conduite à l'est de l'Ouganda pour établir les facteurs socio-economiques de la dimunition des rendements. Cent cinquante fermiers étaient sélectionner au hazard et interviewés. La fonction de production de Cobb-Douglas était utilisée pour estimer les facteurs socio-economiques determinants la production du millet. Le taux des jeunes plantes, la main d'æuvre, les outils et équipements, l'expérience de production et le travail de désherbement étaient les facteurs les plus contraignants. L'application du fumier, la participation du groupe des fermiers et la possession des bêtes de trait puissants étaient aussi des problèmes critiques dans la production des plantes. L'avenir des plantes était largement liée à la résolution des facteurs qui limitent l'usage des intrants et l'intégration de connaissances indigènes dans la recherche et le développement du millet.

Mots Clés: Indices d'allocation efficace, fonction de Cobb-Douglas, Eleusine coracana, produit marginal

 

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